Parlons culture : Nouvelles idées, nouvelles perspectives (Philippe Gingues)
Habituellement, nous discutons chaque mois avec un associé de Richter pour découvrir comment les dirigeants trouvent l’équilibre et la concentration nécessaires pour occuper un emploi exigeant, et quelles sont les compétences non techniques qui contribuent à leur succès. Toutefois… nous changeons la formule pour l’été. Au cours des prochaines semaines, nous nous entretiendront avec nos stagiaires d’été, afin d’en apprendre davantage sur leur expérience chez Richter et leur vie professionnelle en tout début de carrière.
Ce premier numéro estival met en vedette Philippe Gingues, stagiaire pour la deuxième fois au sein du service Marketing et Développement des affaires.
Vous en êtes à votre deuxième stage d’été chez Richter. Lors de votre expérience précédente, quels aspects de Richter ont fait en sorte que vous vouliez revenir encore cette année?
Philippe Gingues (PG) : L’été dernier, j’ai adoré les gens que j’ai rencontrés ici et j’ai eu beaucoup de plaisir à participer à toutes sortes de projets intéressants. De plus, j’ai beaucoup aimé la grande autonomie et la confiance qu’on m’avait accordées. J’avais commencé à travailler sur plusieurs projets passionnants alors, en revenant ici, je savais que j’allais passer un été vraiment stimulant, avec de nombreux projets de valorisation de la marque et de développement de contenu au programme. J’avais vraiment envie d’être de la partie!
Mais ce qui m’avait fait choisir Richter au départ, c’est le souci du détail et le professionnalisme de chacun. Ça m’a plu parce que ce sont aussi mes forces et que c’est essentiel pour la majorité des projets.
Parlez-nous de vos premières semaines ici. Sur quoi avez-vous travaillé jusqu’à maintenant?
PG : J’ai principalement donné un coup de main du côté des communications. J’ai écrit beaucoup de textes pour nos médias sociaux et l’intranet et préparé des invitations à des événements internes, en plus de traduire ces communications pour les transmettre au plus grand nombre. En fait, je suis souvent sur les médias sociaux et, à titre personnel, je regarde ce que certaines entreprises écrivent, alors j’étais vraiment heureux de voir tout le travail qu’il y a derrière la stratégie et les publications pour les médias sociaux d’un cabinet. Quand une entreprise fait paraître une publication, on dirait qu’il n’a fallu que quelques secondes pour la produire, mais, croyez-moi sur parole, c’est tout le contraire! Il y a beaucoup de recherche à faire, il faut trouver les bons mots et choisir le ton qui convient aux destinataires. Donc, j’avais très envie de voir ce qui se passe dans les coulisses. Je suis vraiment content de prendre part au processus de production.
Quelles étaient vos attentes à l’égard de ce programme de stages? Est-il conforme à vos attentes ou avez-vous été surpris par certains aspects?
PG : Je ne savais pas à quoi m’attendre parce qu’il se passe toujours mille et une choses en marketing. Ça, je l’ai appris l’été dernier! Je suis frappé par la quantité de publications à faire paraître sur les médias sociaux et l’intranet. Avec une équipe de 500 personnes, des commandites, des événements, des comités internes, etc., il y a toujours beaucoup de nouvelles à communiquer, et ça prend du temps! Je suis étonné que l’équipe arrive à en couvrir autant compte tenu de tout ce qui se passe. Mais c’est super, parce que nous sommes au courant d’une grande partie des activités du cabinet, et nous pouvons informer le reste de l’équipe et le grand public.
« Ce qui m’avait fait choisir Richter au début, c’est le souci du détail de chacun. »
Quelles compétences souhaiteriez-vous développer cet été? (Quelles compétences fonctionnelles ou techniques voudriez-vous développer?)
PG : Les entreprises que je suis généralement sur les médias sociaux emploient un ton familier dans leurs publications, alors c’est un défi pour moi d’adapter mon ton à celui d’un cabinet de services-conseils comme Richter. J’ai appris qu’on ne peut pas s’exprimer de la même façon qu’en privé, et que le style à utiliser n’est pas le même que pour une société du secteur des biens de consommation ou une entreprise de commerce électronique interentreprises. Il est vraiment important de saisir et d’apprendre à utiliser le bon ton pour bien représenter une entreprise. Je suis heureux de pouvoir y travailler. J’en apprends aussi plus sur les stratégies de valorisation de la marque. C’est tellement intéressant de voir le processus et de découvrir la façon par laquelle on élabore une stratégie. La valorisation de marque et tout ce qu’il y a derrière la création d’une marque m’ont toujours intéressé. Je suis ravi d’être aux premières loges cet été!
Quels sont vos projets après votre diplôme? Où vous voyez-vous?
PG : Je ne sais pas encore. Je vais peut-être faire une maîtrise en marketing ou aller travailler en publicité. Je ne suis pas sûr pour l’instant. Je continuerai peut-être mes études, ou bien j’irai sur le marché du travail quelques années avant de retourner sur les bancs d’école. Mais c’est pour ça que je suis ici : pour explorer et voir ce qui m’accroche le plus. On verra bien où ça me mène!
Quel conseil donneriez-vous à un jeune étudiant à la recherche d’un stage dans un cabinet comme Richter?
PG : À votre entrevue, soyez professionnel, mais restez vous-même. Laissez votre personnalité s’exprimer. J’ai appris que Richter est une communauté qui regroupe des gens formidables aux personnalités très diverses. Il n’y a personne d’ennuyant ici! Alors, restez vous-même et faites-vous confiance!